samedi 10 mai 2008

Point Route...

Samedi 10 mai, 19h08 (local time).

Je suis sacrément à la bourre sur le planning.
Je devais finir Windows on the World au plus tôt hier soir, au plus tard ce matin, je devrais le commencer ce soir.

Je voudrais bien blâmer la fête de mon ex-coloc nouveau voisin pour ça. Fête ayant foutu un bordel monstre dans l'immeuble, même V. ma coloc était grandement agacée (chose que je ne l'ai jamais vue faire en deux ans et demi de collocation), mon voisin du dessous près à sortir son fusil s'il en a un.

Il est une certaine population américaine qui est à Paris et qui m'agace grandement. Déjà parce qu'ils donnent une fausse et mauvaise image des Américains auprès des Français (comme s'il y en avait besoin), mais surtout parce que ce sont de jeunes cons aussi insupportables qu'irresponsables. Tiens, un jour il faudrait que je parle plus en détails de mon ancien coloc et nouveau voisin. Mais j'avoue que j'hésite à le faire, il pourrait tomber sur ce blog par hasard et je ne sais pas comment il réagirait. Non pas que j'ai peur de l'offenser, plutôt qu'il est assez imprévisible et a un passif d'incidents violents à son actif.
En tout cas, il y a des chances qu'il devienne un personnage dans une fiction future (ce qui le flattera, jusqu'au jour où il lire ladite fiction)...

Mais je diverge.
Je disais donc que j'aurais bien aimer mettre mon retard dans le planning sur le dos des petits merdeux aussi bruyants que têtes-à-claques de la nuit dernière mais la vérité est bien pire. Je le savais déjà, mais là j'en ai la confirmation : je suis vraiment rouiller, je ne sais plus écrire dans l'urgence. Et cela m'inquiète vraiment. Bon en même temps, il n'est pas question de finir ma thèse à la fin de la semaine, mais de torcher un truc vaguement lisible et ressemblant vaguement à une ébauche de chapitre histoire d'avoir un truc à montrer aux personnes concernées.
Donc ne perdons pas encore espoir (attendons mardi soir pour cela).

Dans un autre ordre d'idée, je trouve Mémoires d'un Jeune Homme Dérangé beaucoup moins rigolo depuis que j'habite à Paris et ai réalisé que les personnages décrits dans ce roman ne sont pas exactement fictifs (et là on rejoint les fêtards d'hier soir, mais en version haute-bourgeoisie parisienne)

Ceci n'est pas un alligator.

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